
Vous souhaitez entreprendre des travaux afin d’améliorer votre intérieur et de réduire vos consommations énergétiques ? On fait le point sur les les aides à la rénovation énergétique en vigueur au 1er janvier 2018.
Le CITE (Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique)
En 2018, le gouvernement prolonge le Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique (CITE). Concrètement, il permet de déduire du revenu global 30 % des travaux de rénovation. Ce coup de pouce est plafonné à :
- 8 000 € pour une personne seule ;
- 16 000 € pour un couple.
Ce seuil maximal est calculé en fonction du montant TTC des travaux. L’aide est valable pour une liste de travaux prédéfinis, réalisés dans un logement achevé depuis 2 ans et utilisé comme résidence principale.
Cette année, plusieurs travaux sont retirés de la liste des rénovations compatibles : les volets roulants isolants, les portes d’entrée et le passage au double vitrage.
Je découvre les travaux concernés
La Prime énergie Quelle Énergie
Pour changer de mode de chauffage, isoler les murs ou les fenêtres, les particuliers peuvent obtenir une Prime énergie Quelle Énergie. Celle-ci est accordée aux propriétaires qui effectuent des travaux de rénovation énergétique dans leur résidence principale, à condition que la construction soit achevée depuis au moins 2 ans.
Le montant de la Prime énergie Quelle Énergie varie en fonction de nombreux critères. Les individus concernés sont invités à réaliser une simulation afin de connaître leurs droits.
L’Eco PTZ
Cumulable avec le CITE, l’Eco PTZ est disponible jusqu’au 31 décembre 2018. D’un montant maximal de 30 000 €, il permet aux français de financer plus facilement leurs travaux de rénovation, en réalisant un emprunt avantageux, à taux zéro. Afin de prétendre à ce dispositif, il faut que les travaux soient assurés par des professionnels Reconnus Garants de l’Environnement (RGE). Cette aide est accessible uniquement pour les travaux dans les logements achevés avant le 1er janvier 1990.